Résumé : À l’occasion de l’entretien qu’Andréas Pfersmann a réalisé avec lui, Robert Menasse rappelle le moment, entre la fin des années 1970 et le début des années 1980, où il poursuivait des études de Lettres et de Philosophie à l’université de Vienne. Pour le romancier autrichien, l’œuvre et la figure de Georg Lukács ont représenté un enjeu existentiel majeur et la déconstruction du Zeitgeist postmoderne qu’il tente dans sa trilogie romanesque doit beaucoup aux théories du penseur hongrois.