Résumé : S’inscrivant en faux contre l’idée qu’il existe une rupture entre les écrits des années 1910 et ceux des années 1930, cet article propose une lecture de l’œuvre de Lukács mettant l’accent sur sa cohésion. Dans cette optique, il aborde Histoire et conscience de classe (1923) en tant que terme médiateur permettant de lier les écrits de jeunesse aux écrits plus tardifs.