Résumé :La selva sin amor bénéficie des progrès techniques de la scénographie italienne pour offrir au public courtisan l’hapax d’une pièce entièrement chantée en espagnol. Cependant, au-delà du spectacle, il y a d’abord les vers imprimés d’une églogue singulièrement courte qui incite à questionner le statut et le sens de l’écriture dramatique. Le vieux dramaturge semble ne pas avoir perdu tant que ça son humour lorsqu’il repasse clichés linguistiques et rimèmes des fables pastorales.