Résumé : Dans le quatrième roman de Marcel Aymé, la « mauvaise mort » occupe une place centrale. Une lecture ethnocritique des rituels funéraires souligne les dérèglements durant chaque phase des rites. En outre, ces pratiques obéissent à la fois à une coutume locale (orale et communautaire) et à des manifestations urbaines (écrites et extérieures). Le texte littéraire éclaire l’efficacité symbolique pour des enjeux multiples et opposés et permet de dépasser l’approche sociohistorique de l’entre-deux-guerres.