Résumé : Sachant que l’œuvre rimbaldienne est aussi exclusivement poétique que biographiquement bornée, la question est de savoir si la véritable fin de la lecture « autobiographique » qu’on en donne n’est pas surtout la mythification d’un parcours. Cet article a pour objet de consigner certaines distorsions imposées au régime autobiographique, où l’on peut voir une pente du lyrisme après 1850.