Résumé : Un portrait d’Arthur Rimbaud par Jean-Louis Forain pose plusieurs énigmes. 1° L’image publiée n’est pas le dessin original de Forain mais son calque (très retouché). 2° Ce dessin n’a pas été déchiré « par la main en colère de Rimbaud » mais découpé de façon à sauvegarder son visage tout en détruisant la partie droite du feuillet. 3° L’inscription « Qui s’y frot » ne ferait pas allusion à l’esclandre Carjat mais à quelque facétie sur les « amours tigresques » du poète représenté comme un « quasi enfant efféminé ».