Résumé : La nuit neigeuse des enfants « Effarés » fascinés par un fournil est analogue à une nuit de Noël sans communion ni réveillon pour eux. La pertinence sociale et anti-religieuse de ces vers est éclairée par contraste avec les paroles du cantique « Minuit, Chrétiens », déjà souvent chanté dans les années 1860 à la messe de minuit de Noël.