Résumé : Les mutations plus ou moins monstrueuses dont le corps fait l’objet dans Les Chants de Maldoror n’ont pas manqué de capter l’attention des spécialistes d’Isidore Ducasse. Sans en dresser à nouveau la liste, l’objet est ici d’interroger la signification politique de ce grand théâtre de métamorphoses, en mettant en relation les deux strates, physiologique ou idéologique, sous lesquelles cette signification se présente dans l’œuvre.