Résumé : La disparition de Jean-Jacques Lefrère ne fut pas seulement celle d’un chercheur d’une exceptionnelle fécondité mais aussi celle d’un homme extrêmement attachant qui conjuguait une remarquable vivacité intellectuelle et un sens non moins vif de l’amitié. Au moment de son décès, c’est cet homme complet qu’avait tenu à évoquer Michel Pierssens.