Abstract: Des poètes-traducteurs japonais de la première moitié du xxe siècle ont laissé de belles traductions de Verlaine. Cet article examine leur perception de l’ennui verlainien dans les Ariettes oubliées I, III et VIII induite par les choix de traduction qu’ils ont faits, notamment celle de mots qui n’attirent pas l’attention en première lecture. Leurs interprétations légèrement décalées du texte verlainien ouvrent sur certains questionnements.