Abstract: Il est entendu aujourd’hui qu’il n’y a dans les célèbres maximes d’« Adieu » qu’une forme de leurre de la parole, que tel slogan célèbre n’est qu’un soupir de résignation à une modernité honnie et que tout le mouvement de la narration se résume, dans Une saison en enfer, à un trépignement immobile. Dans « Adieu » se dessine un Rimbaud moins désolant.