Résumé : Cet article étudie un phénomène que Paul Valéry a appelé la « noble maladie », dans l’œuvre de jeunesse de Jean-Pierre Duprey. Il s’agit là d’un aspect de l’histoire du rimbaldisme dont l’examen s’attache moins à déceler une postérité des Illuminations, qu’à cerner les formes d’un dialogue poétique singulier.