Abstract: Comme son titre l’indique, cet article prospecte dans la périphérie de « Fountain Court », un poème dédié par Verlaine à Arthur Symons en remerciement de son accueil à Londres en novembre 1893. Ces vers de circonstance sont redoublés et/ou complétés quelque temps plus tard par un récit en prose. Est-il pertinent de se demander ce qui, de la prose ou des vers, rend le mieux compte des événements vécus ? Les questions que soulève Symons dans plusieurs de ses articles fournissent des éléments de réponse.