Résumé : Chez Verlaine, la monorimie, après les quatrains de « Nevermore », s’est étendue aux tercets, puis à l’ensemble des strophes du sonnet. Elle s’est enrichie parallèlement de croisements avec ses jeux spécifiques sur l’alternance en genre et les rimes mixtes. L’auteur relève les antécédents romantiques peu connus de ces variétés, reconstitue les dérivations intermétriques probables, et mentionne les essais de poètes post-verlainiens, où la monorimie finit par toucher le sonnet tout entier.