Résumé : Le présent article, en post scriptum à « Morales de la bouillotte et du scorpion » (Revue Verlaine, 18, 2020), propose de voir dans une séquence de la Vita de Benvenuto Cellini un intertexte probable (et peut-être la source d’inspiration ?) de scènes initiatiques comparables dans les Confessions de Verlaine avec comme animal totémique commun le scorpion.