Résumé : Si l’on se refuse encore à voir Napoléon III évoqué à travers les figures de César Borgia et Philippe II dans les pièces éponymes des Poëmes saturniens, c’est essentiellement parce que Victor Hugo ne procède pas au rapprochement entre Louis Bonaparte et ces deux despotes dans son grand recueil antibonapartiste Châtiments. Le présent article montre que la double comparaison est en revanche bien présente dans son pamphlet Napoléon le Petit.