Résumé : Cet article aborde la dimension prospective de la poétique verlainienne, sous l’angle du latent, soit une attention portée à tout ce qui point ou, plus exactement, s’apprête à poindre (absence sur le point de disparaître, présence prête à advenir). Il se concentre plus particulièrement sur l’usage et les fonctions d’un signe de ponctuation tout à fait emblématique, cristallisant une large part des prédilections verlainiennes tout en étant assez peu utilisé dans les premiers recueils : le point de suspension.