Résumé : Les déformations qui caractérisent les graphies des dizains dans lesquels Verlaine fait entendre, au sein de sa correspondance, la voix d’un Rimbaud disparu ont été surtout analysées comme des témoignages phonétiques de la façon dont parlait le poète. Les reconsidérer dans leurs potentialités de signifiance permet de mieux comprendre les jeux complexes de connivence poétique qui se tissent entre des interlocuteurs initiés présents et absents.