Résumé : Le goût ancien de Verlaine pour le nonsense est rappelé, à l’occasion d’un de ses poèmes tardifs et d’une chanson de Lepelletier. La notion de galimatias double, mentionnée dans l’épigraphe du poème parodique « À Clymène », est replacée dans son contexte. Ce poème, qui fait partie de ses quelques poèmes de nonsense, fait l’objet d’un commentaire, et sont précisées ses liaisons d’intertextualité et d’intermétricité, ainsi que ses rapports avec des poèmes voisins, et à deux de ses premiers poèmes.