Résumé : Quand Verlaine cite « Rêve intermittent d’une nuit triste » de Desbordes-Valmore, un hendécasyllabe est souvent transformé en alexandrin : ne possédant aucune édition, Verlaine le cite de mémoire. S’il écrit dans les Poètes maudits que Rimbaud le força à « lire tout » de la poétesse, il était en fait bien loin d’avoir pu consulter l’ensemble de son œuvre.