Résumé : Au prisme de l’imaginaire carcéral, ce texte tente d’aborder Verlaine à partir du recueil Cellulairement, à l’existence virtuelle, mais qui résonne jusque dans les proses tardives de Mes prisons et de Mes hôpitaux. Cellulairement a une unité propre. À partir de ce constat, l’article essaie d’expliquer sa dispersion.