Résumé : L’article examine les relations de Nerval avec la presse viennoise pendant et après son séjour dans la capitale autrichienne au cours de l’hiver 1839-1840, aux premiers rangs desquelles celles qu’il entretint avec les figures d’Adolf Bäuerle et de Moritz Saphir. Il essaie en particulier d’éclaircir les accointances entre les poétiques humoristiques de Nerval et des journaux que ces confrères viennois dirigèrent.