Résumé : Le chapitre « Othys » mérite d’être considéré comme le sommet de Sylvie. L’héroïne y voit, avec son jeune compagnon, son destin réorienté, mais la cérémonie du mariage d’enfants n’aura pas de lendemain. Les « fragments » qui s’inspirent de la scène éphémère sont autant de variations qui modèlent les résurgences d’un « mythe unificateur ». Face aux aléas de la Fortune, il n’y a pas d’autre issue de secours que le caractère sacré d’un amour d’enfance.