Résumé : À la faveur d’une légende orientale citée presque à la fin et centrée sur le mirage de saint Rieul, la rêverie rousseauiste se révèle après coup champ élégiaque, « naïf » et « sentimental » selon les catégories de Schiller. Privé d’un logement, le promeneur du Valois passe, à travers les souvenirs de sa jeunesse, du degré zéro de l’élégie à son apothéose occasionnelle. Celle-ci conjugue, à Senlis, la découverte d’une voiture de saltimbanques avec la perspective heureuse de la comédie au château.