Résumé : L’article rappelle les conditions de composition du tout premier recueil d’Ungaretti et évoque sa faible réception française, limitée à une traduction en revue, indisponible depuis longtemps, pour ensuite introduire la méthode adoptée par la traductrice. En se plaçant sous le signe de la simplicité telle que la formule Ingeborg Bachmann, elle entend restituer au plus près les versicoli ungarettiens, et fournit quelques exemples et essais de traduction.