Résumé : Le repentir, notamment dans son sens chrétien d’itinéraire pénitentiel de conversion, peut être considéré comme le véritable fil rouge du macrotexte autobiographique constitué de Vie nouvelle, Banquet et Divine Comédie. Cette hypothèse, se focalisant sur l’interaction entre les repentirs de Dante agens et les palinodies de Dante auctor, pourrait confirmer ou infirmer quelques interprétations de certains passages de la Divine Comédie (et spécialement du Purgatoire).