Résumé : Cet article se propose d’interroger la représentation et la valeur de la science telles qu’elles ressortent de la lecture de Robur le Conquérant (1886) et de Maître du Monde (1904). Plus spécifiquement, l’analyse portera sur les changements qui semblent se faire par rapport à la vision et au rôle du progrès scientifique dans les deux romans, publiés à dix-huit ans d’écart. On interrogera tout particulièrement la façon dont le savoir est présenté et inséré par l’auteur dans l’univers diégétique.