Résumé : Depuis les fabliaux, les enfants d’Esculape se sont prêtés à la satire. Mais si la médecine, dans ses pratiques, nourrit la verve des conteurs de la Renaissance, les traités médicaux empruntent aussi les procédés de la littérature narrative pour enseigner et pour séduire. La démonstration ou l’étude de cas laissent parfois place à des histoires qui peuvent illustrer le « rire médecine » mais aussi le talent d’un écrivain.