Résumé : Un contexte d’anglomanie et d’anglophilie encadre le travail de traduction de La Bible d’Amiens (1904) et de Sésame et les lys de John Ruskin. L’anglophilie est manifeste dans son choix de vêtements, de lieux de villégiature sur la côte normande, de lectures, d’amis ou de connaissances, et de sorties esthétiques aux nombreuses expositions d’art (Sickert, Whistler ou chez Bing). Tous ces éléments constituent une riche tapisserie dont les fils sont entrelacés dans À la recherche du temps perdu.