Résumé : Les pages blanches intercalées dans le calendrier d’almanachs, dont le Mathieu Laensbergh, incitent les lecteurs à les annoter et à développer des projets d’écriture s’approchant des écrits du for privé. En plus d’un usage s’apparentant d’un livre de comptes, d’un livre de raison, des auteurs notent la température et utilisent leur almanach d’une manière similaire à un agenda. Les annotations sont influencées par le contenu imprimé des almanachs, laissant entrevoir le for privé de leurs auteurs.