Résumé : Du point de vue de la fortune critique d’Ingres, plus spécifiquement littéraire, la période allant de la mort de l’artiste en 1867 au début des années 1930 paraît moins riche que celle de son vivant, marquée par les critiques des Salons. Pourtant, l’entrée des toiles au Louvre en 1875 et les grandes expositions consacrent l’artiste. Les écrivains, quand ils dépassent les anecdotes sur le caractère d’Ingres, se concentrent sur La Grande Odalisque ou Le Bain turc, acquises par le Louvre en 1899 et 1911.