Résumé : Le procédé du métathéâtre, par lequel le théâtre « parle » de lui-même et s’auto-représente, envahit la production dramatique à la fin du XVIIe au XVIIIe siècles. Un travail d’ensemble sur ce répertoire invite à renouveler le regard porté sur la création dramatique de cette période. Il permet, d’une part, d’affiner la connaissance que nous en avons, et de contribuer, d’autre part, à une réflexion plus générale sur la notion même et les usages du « métathéâtre » à travers les âges.