Résumé : Le talent graphique de Corbière s’épanouit dans l’autocaricature, en particulier dans une eau-forte publiée dans Les Amours jaunes et dans un dessin scabreux qui a pu être une esquisse de frontispice abandonnée. Les deux images, et surtout la seconde, sont émaillées de petits symboles, de jeux de mots, qui devaient faire entrer le lecteur dans l’univers du recueil avec un rire ou un ricanement jaune, récusant à l’avance le sérieux des contrats lyriques conventionnels.