Résumé : Françoise illustre bien cette « esthétique de la surimpression » qui superpose sur un même personnage divers modes de représentation. À ceux qui sont déjà connus, l’article en ajoute un autre, inspiré des sound studies. De par son appartenance au peuple et sa fonction ancillaire, le rapport de Françoise au bruit est unique comme l’est dans le texte la place du bruit lui-même : un résidu, une scorie, autrement dit ce qui reste du réel une fois que l’écriture a achevé son œuvre de transformation.