Résumé : La notion de “nature morte” n’a guère été employée par la critique ou la poétique littéraire, à la différence d’autres notions (portrait, paysage, marine...) empruntées à la peinture. Le projet de cet article est de vérifier l’éventuelle pertinence de cette notion si on l’applique à la littérature romanesque, et notamment à la littérature romanesque réaliste du dix-neuvième siècle (Flaubert).Y a-t-il, comme en peinture, un genre du “coin de table” au dix-neuvième siècle ?