Résumé : Dans la prose, romanesque ou non, tout comme dans les natures mortes picturales du XIXe siècle, prolifèrent des objets isolés, souvent humbles, parfois répugnants. Goût de la provocation ? Expression d’une colère ? Fascination pour l’horrible et le potentiel esthétique qu’il recèle ? Ou envie de tirer partie de ces « sujets » que conteste l’art académique pour remettre en cause celui-ci et mieux interroger ce qui fonde les principes de la représentation en littérature et en peinture ?