Résumé : Critique dramatique, Lenormand, dans La Gerbe et Panorama, brosse un tableau précieux du paysage théâtral entre 1940 et 1944. Il applaudit les créations des poètes, Maeterlinck, Montherlant, Giraudoux et Claudel, celles du théâtre étranger, Strindberg, Ibsen et Pirandello. Il fait l’éloge de l’avant-garde de l’entre-deux-guerres, marquée par Freud, et de la génération montante, Anouilh et Sartre, autant de spectacles qui ont donné naissance à une sensibilité nouvelle.