Résumé : En nous aidant, pour une large part, de la pensée ricœurienne, d’abord, et du livre Essai sur le génie dans l’art de Gabriel Séailles (1897), ensuite, nous nous attacherons à montrer en quoi le « génie » comme « manière » de l’artiste, loin d’être « hors sol », c’est-à-dire de relever seulement des structures transcendantales de la perception, relève aussi de la « vie spirituelle » de celui-ci, en même temps que d’une « inspiration » que nous nous attacherons à définir.