Résumé : Un siècle après, l’article publié par Maurice Leenhardt dans la RHPR sur « la traduction du Nouveau Testament en langue primitive », ne laisse pas d’interroger le lecteur. Quoique grevé de lourds présupposés, il marque une étape décisive dans l’itinéraire intellectuel de son auteur, aussi bien que dans l’histoire de l’ethnolinguistique et de la traductologie. Une double mise en contexte permet donc de saisir sa singularité ainsi que ses enjeux.