Résumé : L’étude des clausules (métriques et accentuelles) en réseaux d’échos dans les trois parties de l’Hymnodie secrète (Corpus hermeticum, XIII, 17-20) montre que c’est une prose eurythmique dans les deux prononciations, ce qui n’est pas exceptionnel à l’époque de la Seconde Sophistique, tandis que l’hymne du Poimandrès (I, 31-32) et la prière de V, 10-11 ne présentent un réel intérêt rythmique qu’en lecture orale moderne. Autant de lectures, autant de fidèles aux compétences culturelles différentes.