Résumé : La façon dont Sismondi aborde la question de la propriété dans les Nouveaux principes d’économie politique n’est pas dissociable de sa définition de la richesse. C’est par le détour de la méthode rousseauiste du second Discours qu’il caractérise la richesse. La propriété est abordée sous l’angle des contraintes de la reproduction des richesses, conditionnée par le respect d’un juste rapport entre production et consommation. Ce qui importe est moins la propriété que la relation à la propriété.