Résumé : Cet article explore le rapport entre capitalisme et nature. La tendance à l’abus naturel de ce système économique, qui n’a pas d’essence en soi, est soulignée dans le fragment de Benjamin intitulé Capitalisme comme religion. Ensuite, les implications de ce résultat sont développées en liens avec Passagenwerk et l’Expo2015 de Milan. La phrase « le capitalisme ne mourra pas de mort naturelle » constitue le fondement d’une saisie des mutations d’une religion toujours en train de s’effondrer.