Résumé :Combray, première partie de Du côté de chez Swann, forme, avec la « Matinée chez la princesse de Guermantes » du Temps retrouvé, un véritable diptyque. Nous avons le début et la fin d’un roman qui tournent autour d’une « matière première » traitant de la mère, de l’enfance, de la mort et de l’Œuvre. Dans ces « fragments » de la Recherche, quel serait « l’embryon » de l’œuvre à venir ? Et comment ce projet s’achemine-t-il vers la fin, mais une fin toujours provisoire ?