Résumé : Cette étude est centrée sur un détail apparemment insignifiant de la Recherche, un petit parasite – la mite – qui n’est mentionné que tout à la fin du cycle romanesque proustien, mais qui prend vite une dimension poétologique, montrant comment le ‘bruit’ qui accompagne les processus perceptifs du protagoniste peut se révéler non pas (seulement) un élément perturbateur, mais également productif en vue de sa capacité à stimuler l’esprit du protagoniste.