Résumé : Bien que la plupart des références à la philosophie kantienne ne soient pas visibles à première vue, celle-ci se trouvant souvent cryptées dans l’écriture de l’œuvre romanesque, Proust attache une grande importance aux travaux critiques de Kant. Leur attribuant une fonction de paradigme, même un rôle novateur quant à nos habitudes visuelles, Proust développe une esthétique du sublime que la présente étude souhaite retracer.