Résumé : Cette étude part de l’idée des espaces dynamiques pour faire comprendre comment la manière dont nous percevons l’espace se répercute sur les modèles que nous concevons de notre identité. Interprétant la Recherche comme « espace de mouvement », comme espace kinesthésique capable de nous rendre conscient de cette « mobilité mentale » qui nous permet de saisir les dynamismes de l’identité, l’étude montre que le sujet moderne peut surmonter la crise de la connaissance de soi grâce à l’art et, en particulier, à la littérature.