Résumé : Cette contribution voudrait, dans le prolongement d’un article publié en collaboration avec Muriel Adès, revenir sur d’autres formes, plus implicites, inconscientes peut-être, involontaires sans doute, de « remontées » de Saint-Simon dans Proust, sur des lieux où son écriture, sans rien perdre de son originalité propre, semble momentanément hantée par celle de Saint-Simon, au point de se confondre momentanément avec elle dans une espèce de dialogisme fusionnel.