Résumé : L’incipit pose d’emblée la nature éphémère de la sensation et le miracle de la réminiscence. Le narrateur entend traduire les sensations du passé en explications efficaces de la vérité cachée. Des procédés verbaux et adverbiaux ambigus relient aussitôt le récit au discours. L’auteur montre comment les traducteurs espagnols et catalans ont puisé chacun dans leur langue des équivalents linguistiques et stylistiques et avec quel bonheur ils ont interprété ce flottement entre les instances du discours et du récit.