Résumé : L’auteure analyse Un amour de Swann en turc à travers l’histoire culturelle de la Turquie. Elle étudie plus particulièrement les différents univers sémiotiques construits dans trois traductions : celles de Yakup Kadri Karaosmanoğlu, de Tahsin Yücel et de Roza Hakmen. Elle s’interroge sur la manière dont les signes proustiens sont interprétés et restitués en traduction, depuis les titres (p. 235) jusqu’à l’univers sémiotique dans son ensemble (voir p. 437).