Résumé : Plus encore qu’avec les textes littéraires, Mme de Sévigné entretient avec les textes bibliques et liturgiques dont elle se nourrit un lien privilégié. Un lien qui l’amène à en faire la matière de son idiolecte. Cette proximité avec ces textes autorise certains détournements, tantôt irrévérencieux, tantôt amoureux. Toutefois, dans la deuxième partie de la Correspondance, les références bibliques et liturgiques retrouvent leur sens originel et offrent même des modèles d’écriture.